Au cours de notre vie, il est rare que nous soyons épargnés par quelque épisode d’anxiété. Du plus rapide au plus récurrent, nous nous en souvenons comme quelque chose de très désagréable, piquant, douloureux, impactant sur des aspects multiples de notre vie, parfois tellement envahissant que nous demandons alors de l’aide. Les sensations liées aux phénomènes d’anxiété ont très vite un impact physiologique : accélération du rythme cardiaque, oppression sur la poitrine, le thorax, gorge serrée, ventre qui se tord, chaleur dans la tête, picotements dans les extrémités, suées, et…La panoplie de symptômes est sans fin. Pourtant, chacun le vit d’une façon très personnelle et particulière. Aucune n’est équivalente. Il est possible de se sentir comme un bateau qui dérive sans gouvernail ; comme un homme nageant dans des eaux sombres et tumultueuses ; comme une serpillère gorgée d’eau lourde et sans forces au fond d’un seau ; comme un cri muet qui reste coincé au fond de la gorge ; comme une pluie fine et opaque sans fin et sans repos ; etc… Les imaginaires s’expriment de la manière la plus riche et multiple. Nous cherchons alors pourquoi. Nous faisons des hypothèses. Nous mettons en place des attitudes pour apaiser, soulager. Parfois, ça suffit un peu ou complétement. Parfois, ça ne marche pas ou plus. Nous examinerons précisément ensemble à quoi ces troubles ressemblent, comment ces troubles apparaissent et ce que le patient ou son entourage tente de faire pour les apaiser. Quel que soit l’éventuel diagnostic posé ou étiquette établie, nous effectuerons un travail thérapeutique afin de modifier la relation que le sujet entretient avec lui-même, avec les autres ou avec le monde en général. Nous explorerons alors les pistes permettant un changement prudent, sécurisé et durable dans le temps.

Les problèmes autour du poids sont familiers, fréquents, souvent récurrents et parfois très douloureux.

En modifiant son poids, nous espérons retrouver ou trouver de l’aisance dans sa vie :

–       dans sa santé ;

–       dans ses relations aux autres ;

–       dans son allure et sa vision de soi-même.

Contrôler son poids nous engage, la plupart du temps, à contrôler notre relation à la nourriture.

Cela peut conduire à des niveaux divers de maîtrise : du régime banal effectué à plusieurs occasions, à l’anorexie ou la boulimie sévères.

C’est alors que nous pouvons très vite nous retrouver dans un cercle vicieux : plus je veux contrôler, plus je prends le risque de perdre ce contrôle.

De la même façon, nous nous rendons compte que, plus nous nous interdisons quelque chose et plus ce quelque chose pourra devenir particulièrement désirable.

Nous  réfléchirons ensemble à ce qui serait possible d’expérimenter pour traiter ce problème différemment, et mieux encore, peut-être le résoudre.

•Nos enfants…

Comment je procède avec les enfants ?

Un des principes de l’approche Palo Alto est de rechercher la personne la plus motivée pour un changement, celle qui est prête à agir pour modifier une situation.

Lorsque votre enfant va mal, a des problèmes et que vous êtes si inquiet et si triste que vous m’appelez, je préfère vous voir d’abord, vous, l’adulte concerné.

 

Pourquoi ?

Tout ce qui touche nos enfants est particulièrement sensible.

Nous sommes très vite atteints et cela déclenche bon nombre d’émotions compréhensibles : inquiétude voire anxiété ? Tristesse voire chagrin ? Agacement voire colère ?

Est-il alors judicieux que votre fils ou votre fille soit présent(e) ?

Lorsque vous viendrez la première fois, vous aurez besoin d’exprimer ce que vous ressentez et pensez de la situation ; j’aurai besoin d’avoir ces informations importantes afin de mieux comprendre comment les choses se passent pour vous.

Vous serez totalement libre de dire ce qui est important pour vous.

La présence de votre fils ou de votre fille est-elle alors facilitatrice ou pas?

Nos enfants sont, dès leur plus jeune âge, examinés par différentes autorités professionnelles : nounou, enseignant, médecins divers et autres spécialistes.

Parfois, on peut leur épargner un professionnel supplémentaire en réfléchissant entre adultes.

Et si nous commencions par ça ?

Nous sommes responsables de nos enfants et bien souvent, quelques ajustements de nos comportements d’adultes remettent de l’huile dans les rouages sans qu’il soit nécessaire de de les impliquer directement.

Indirectement, subtilement, nous pouvons retrouver des relations apaisées pour eux et nous.

En le faisant ainsi, nous pouvons  tâtonner, nous tromper et nous ré-ajuster sans risque pour faire évoluer les situations douloureuses.

 

Je ferais une distinction selon l’âge de l’enfant. Avant cinq ans ou à seize ans, la différence est notable et nos leviers d’action sont différents.

Dans tous les cas, il sera toujours temps de voir directement votre enfant, soit parce qu’il en a très envie et vous aussi, soit parce que nous nous serons mis d’accord, vous et moi.

 

•Nos familles …

“Familles, je vous hais ! 

Foyers clos, portes refermées, possessions jalouses du bonheur”, 

écrit André Gide dans les nourritures terrestres.

Nous réfléchissons tous tôt ou tard à nos liens familiaux.

Nous considérons qu’amour, solidarité et confiance devraient y régner. Parfois, les situations sont loin de l’harmonie idéale.

J’accompagne souvent des personnes adultes, des couples, des adolescents qui ont des problèmes relationnels au sein de leur famille :

• conflits entre parents et enfants;
• grands-parents en manque de leurs petits enfants ou parents regrettant que leurs propres parents s’occupent peu ou pas de leurs petits- enfants.
• relations difficiles avec des beaux parents ou avec des beaux enfants.
• conflits dans les fratries.

L’approche systémique est très utile dans ces cas-là.

Chacun vit de manière différente ces conflits.

Plus nous identifions de manière précise les dégradations des situations individuelles et plus nous cela nous permet d’identifier de manière globale les désaccords liés à cette altération des relations familiales.

Nous pouvons alors entreprendre d’expérimenter des changements simples, choisis, sécurisés pour modifier la teneur de ces relations.

Le couple est un élément puissant de notre bonheur et de notre malheur !

Normal, il est un questionnement de chacun d’entre nous : 

un choix de vie ? une quête, un Graal ? Un accomplissement ? Un renoncement ? Un échec ? Un quotidien paisible ? Un quotidien conflictuel ? Hostile ? Voire violent ?

Les problématiques liées au couple sont multiples et plus ou moins visibles ou indirectes : disputes régulières, engagements retardés, inertie, jalousie, manques et plaintes récurrentes, communication dégradée, défiance, activité sexuelle altérée, trahisons, etc…

Et puis, il y a cette expérience si douloureuse et si humaine qu’est le chagrin d’amour…

A la faveur de la thérapie brève, nous pouvons expérimenter des petits changements et réussir à trouver des attitudes plus écologiques qui facilitent la vie.

Dans le cadre de l’approche Palo Alto, il n’y a pas de vision normative du couple. Nous nous attacherons à identifier ce qui dans la situation actuelle génère de la souffrance, de l’insatisfaction ou frustration chez l’un ou l’autre des partenaires.

L’idée est d’interrompre les interactions répétitives qui maintiennent les problèmes ou les augmentent. En coupant ces boucles dommageables, nous pouvons retrouver des boucles vertueuses.

Les formats des séances seront établis et évolutifs en fonction des situations et des souhaits de chacun : soit avec une seule personne, soit avec les deux. 

Parfois, nous nous retrouvons avec des maux physiques douloureux et impossibles à guérir malgré de nombreuses consultations médicales.

La thérapie brève ne prétend pas guérir ou faire disparaître systématiquement les altérations de notre corps.

 

En revanche, prendre la peine de les examiner sous le prisme de l’approche Palo Alto peut souvent permettre rapidement de remettre du contrôle et donc de l’apaisement dans le traitement de nos douleurs, de les atténuer et parfois de les faire disparaître.

Les problèmes rencontrés lors des challenges scolaires, universitaires ou professionnels auxquels nous sommes un jour ou l’autre confrontés sont source de maux divers : de l’inquiétude légitime à l’angoisse la plus sévère. (Phobie scolaire, anxiété pré-examen, enjeux de concours…)

 

Cela se traduit par des états sur une échelle infinie d’états de souffrance : 

Doutes, anxiété, perte de confiance.

En examinant chaque trouble et en se préparant au pire, on pourra aborder plus sereinement son examen, son concours, son entretien d’embauche.

 

5 à 10 séances peuvent suffire.  Les bénéfices sont rapides

 

La thérapie brève amène le patient à faire des expériences nouvelles qui lui permettent d’affronter le présent et l’avenir de façon plus sereine.

Il n’y a pas de règle car chaque patient est différent, chaque thérapie est ajustée au patient.                                  

Les premières séances sont espacées de quinze jours pour débloquer la situation.

Les séances suivantes servent à consolider le changement et à ancrer le mieux-être.                                        

Une séance ou plus de suivi peut avoir lieu quelques mois plus tard.

Les changements sont profonds et durables.

 

Vous souhaitez vous préparer à un examen, un concours, un recrutement, un entretien, une intervention orale.

Vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté.

Vous avez besoin de vous entrainer à être à l’aise et au meilleur de vous-même pour maximiser vos chances de réussite.

 

Je vous proposerai des outils simples et efficaces de communication stratégique.

 

Nous nous entrainerons en séance.

 

Lors de la première séance, nous définirons précisément vos besoins et le nombre utile de séances.

En général, 2 à 3 séances peuvent suffire pour que vous puissiez vous approprier ces outils puissants et gagner en performance.

 

        Florence Nowak, née en 1963. 

 

        Après un premier parcours dans l’enseignement (école normale, institutrice de l’éducation nationale), puis un deuxième dans l’industrie pharmaceutique (grandes entreprises privées), j’ai ouvert ma consultation de Thérapie Brève et Hypnose après mes 5 premières années de formation à l’Institut Gregory Bateson de Paris.

 

        J’ai continué, sous la supervision de Vania TORRES-LACAZE qui dirige l’institut parisien, à étudier cet outil exceptionnel qu’est le modèle Palo Alto. J’ai rejoint l’équipe de recherche et d’observation à Paris durant 2 années, 2 fois par mois. 

 

        Aujourd’hui, je consulte et continue à me former : je participe régulièrement à des modules d’approfondissement et de supervision à l’Ecole du PARADOXE à Paris sous la direction de Dr Irène BOUAZIZ et Dr Chantal GAUDIN, médecins psychiatres.

 

 

Cela me permet de travailler en collaboration avec d’autres psycho-praticiens. 

 

Vous les verrez parfois durant les consultations, observateurs discrets, soumis au secret médical, attentifs à enrichir mes compétences et les leurs au service du patient.